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Les nouvelles règles d’immigration introduites en 1962 ont éliminé la discrimination raciale manifeste de la politique d’immigration canadienne. La compétence est devenue le principal critère pour déterminer l’admissibilité plutôt que la race ou l’origine nationale. Les catégories d’immigrants parrainés ont été élargies de manière à ce que tous les citoyens canadiens et les résidents permanents puissent parrainer leurs familles pour l’immigration. Toutefois, un élément de discrimination subsiste, car seuls les immigrants canadiens provenant de pays privilégiés d’Europe, des Amériques et de certains pays du Moyen-Orient étaient autorisés à parrainer des enfants de plus de 21 ans, des enfants mariés et d’autres membres de leur famille élargie.

Entre 1885 et 1923, les travailleurs chinois et leurs familles devaient payer l’une des nombreuses taxes d’entrée pour immigrer au Canada. La taxe ne s’appliquait pas aux autres immigrants.

La communauté sino-canadienne remonte sans cesse à l’arrivée de plusieurs milliers de prospecteurs chinois lors de la ruée vers l’or de la vallée du Fraser.

La Loi de l’Immigration chinoise de 1923, également connue sous le nom de la “Loi d’Exclusion des Chinois”, était une Loi du Parlement canadian adoptée par le gouvernement du premier ministre libéral William Lyon Mackenzie King, interdisant la majorité des formes d’immigration chinoise au Canada. Cela obligeait toutes les personnes de “race” chinoise vivant au Canada, y compris celles nées au Canada, à s’enregistrer auprès du gouvernement fédéral pour pouvoir rester dans le pays.

Sous la pression de la communauté internationale, qui était en train d’adopter la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, du lobbying de la communauté sino-canadienne, y compris des vétérans, et conformément à la nouvelle Loi sur la Citoyenneté canadienne, le Parlement canadien à abroger la loi d’exclusion le 14 mai 1947.